Camille LAURENT

Camille LAURENT

Tél. : 05 31 15 61 99

laurent.c@chu-toulouse.fr


Statut

Professeure des universités - Praticienne hospitalière

Promotion

Junior 2019

Établissement

Université de Toulouse

Secteur disciplinaire

Biologie • Médecine • Santé

Spécialité

Anatomie et cytologie pathologiques

Thématique

► Recherche translationnelle menée sur les mécanismes de dérégulation de la réponse immune anti-tumorale médiée par les cellules Tγδ et les cellules Natural Killer. L’objectif général est de démembrer les mécanismes d’immuno-évasion impliquant notamment les points de contrôle immunologique en fonction de l’évolution du lymphome
► Recherche anatomo-clinique menée dans le cadre de la Lymphoma Study Association, 1ier groupe coopérateur international centré sur les lymphomes: aspect moléculaire et histologique d’entités rares et identification de biomarqueurs pronostiques
► Recherche en santé publique portant sur l’exploitation des données Lymphopath, réseau INCa de relecture nationale et systématique des diagnostics de lymphome, évaluant le taux de discordance entre centres experts et non-experts. Initié en 2010, ma 1iere publication en tant qu’investigateur principal a porté sur 40000 cas (J Clin Oncol 2017)

Présentation

Depuis plus de 10 ans, notre équipe s’est impliquée dans la régulation de l’interaction entre cellules immunitaires et cellules tumorales dans le contexte des lymphomes non Hodgkiniens (LNH). Cette unité thématique s’est doublée d’une unité méthodologique combinant l’imagerie cellulaire et tissulaire (en ma qualité de pathologiste) et régulation génique des points de contrôle immunologique (PCI). L’originalité de ce projet de recherche translationnelle ici présenté tient à la population effectrice ciblée : Tγδ et cellules Natural Killer. Notre hypothèse est en effet de considérer que ces cellules de l’immunité innée sont tout comme les effecteurs de l’immunité adaptative, sous le contrôle de PCI et que l’interaction de ces molécules avec d’autres médiateurs solubles produits par les cellules de LNH ou issus de leur microenvironnement, contribue à l’immuno-évasion de la tumeur lymphomateuse et favorise sa progression.

Revenir